Le goodies publicitaire, nous y sommes tous confrontés chaque jour. Du simple stylo publicitaire à la papeterie de bureau en passant par des produits plus élaborés comme le goodies high tech et le textile, nous en avons en moyenne chacun 12 chez nous. C’est un nombre conséquent même si tous n’ont pas la même durée de vie. Pour l’entreprise, l’enjeu est de pouvoir sortir du lot de cette collection de goodies publicitaires afin que son image perdure auprès du consommateur. Et pour cela, il est indispensable que l’entreprise sache faire correspondre le goodies et sa cible.
Un public pour chaque goodies
Il suffit de prendre le temps de consulter, même sommairement, le catalogue d’un fournisseur de goodies pour comprendre que le sujet est très vaste. Alors, pourquoi ne pas chercher à communiquer avec sa cible de façon précise en lui offrant un goodies entreprise qu’elle a toutes les chances d’apprécier. Les études spécialisées permettent de comprendre quels sont les profils différents de l’utilisateur du goodies, et quel type d’objet à sa priorité. C’est un très bon moyen de réfléchir à la question du ciblage de ses goodies. On peut par exemple observer que les goodies du style accessoires informatiques ou produit high tech intéressent d’abord les profils CSP+. Le classique stylo publicitaire ou le set de papeterie publicitaire se destine prioritairement aux femmes plutôt qu’aux hommes, et plutôt dans la tranche d’âge qui vient d’entrer dans le monde du travail. Autre exemple, tous les goodies personnalisés de l’horlogerie, les montres promotionnelles en premier lieu, se destinent d’abord aux hommes, type CSP- et au-delà de la cinquantaine.
Ces exemples, il y en a encore d’autres mis en avant par l’étude du 2FPCO, sont là pour indiquer quelle catégorie est la plus touchée par un type de produit. Cela ne signifie pas toujours que c’est l’unique ciblage, mais bien celui qui a le plus de chances de porter ses fruits auprès du public. En effet, le but du jeu pour une entreprise est de pouvoir cibler sa distribution de goodies en fonction des attentes des consommateurs. Et cette étude met en avant que tel ou tel type de consommateur, qu’il soit par exemple CSP+ ou CSP-, est intéressé par des objets différents. Cela correspond à ces centres d’intérêt variés, issus souvent de la condition sociale. Cela peut mettre en avant aussi des besoins plus fondamentaux que le goodies original va pouvoir compléter. On peut prendre à ce propos l’exemple des produits textiles qui attirent plus les hommes de CSP- et ayant entre 35 et 49 ans. Cela répond à une préoccupation assez masculine concernant les vêtements pour lesquels la dimension utilitariste est bien plus importante que pour une femme qui saura prendre en compte l’aspect esthétique plus facilement qu’un homme.
Votre communication par les objets publicitaires ne peut donc absolument pas être prise à la légère. Pour que votre investissement porte ses fruits, vous devez cibler quels goodies seront donner à quelle typologie de vos clients ou futurs prospects.
La question de la surreprésentation
Cibler correctement les prospects en leur donnant le goodies qui leur parle n’est pas suffisant. Lorsque l’on sait que l’on a tous en moyenne 12 goodies de différentes sortes en notre possession, il y a un risque de surreprésentation. Ce phénomène, c’est celui qui est que tout le monde a les mêmes goodies, souvent les moins originaux, mis en rapport avec la durée de vie de ce dernier. Par exemple, le stylo publicitaire est le goodies que l’on a tous dans son sac à main, sa sacoche ou sur son bureau. Mais ces stylos tournent vite car ils ne sont pas conçus pour durer très longtemps. A contrario, des goodies dans le domaine textile ou informatique sont plus conçus pour la durée, donc encore plus soumis au phénomène de la surreprésentation. Pour y répondre, il faut jouer la carte de l’originalité. Il y a en effet tout à gagner avec les goodies originaux car ils marqueront plus l’esprit de la personne qui le reçoit ce qui permettra de mieux véhiculer le nom de votre entreprise, votre message ou votre logo.
Le goodies comme vecteur idéologique
Les goodies pas chers doivent être sélectionnés en fonction des attentes des consommateurs, c’est un fait. Il ne faut donc surtout pas oublier de prendre en considération des préoccupations relativement récentes mais auxquelles les français attachent de plus en plus d’importance. Le domaine de l’écologie, du made in France, de l’engagement éco-responsable des entreprises, tout cela a aujourd’hui un fort impact auprès de la population, en particulier les jeunes gens et les CSP+. Orienter sa démarche avec des objets publicitaires de ce style, quel que soit le goodies d’ailleurs, c’est passer un message fort qui ne concerne pas directement votre produit ou votre activité, mais votre conception du monde de l’entreprise et de la société. Et c’est un sujet particulièrement efficace pour s’adresser au public ciblé. C’est d’ailleurs pour cela que les fournisseurs de goodies jouent aujourd’hui la carte du Made in France ou des goodies éco-responsables ou des goodies écologiques, changeant ainsi progressivement les mentalités sur ces objets du quotidien.
Parce que les budgets publicitaires ne sont pas infinis, toute publicité est par définition ciblée. L’objet promotionnel n’échappe pas à la règle. C’est ainsi qu’il est indispensable, lorsque l’on est une entreprise, de bien prendre en considération ce que l’on offre, et à qui. Chaque public attend, de façon plus ou moins consciente, un type de produit qui réponde à ses attentes. C’est le levier sur lequel il faut jouer, choisir les goodies en fonction des attentes, très diverses, de ses consommateurs. Les fournisseurs bien établis dans le domaine sont le plus à même de répondre à ces problématiques avec un choix large, pertinent et original.